Base : Gensomaden Saiyuki
Genre : Yaoi, Lemon,
romance, énonciation de viol.
Couple : Gojyo x sanzo
Note : C’est la première
fic que je fait sur Gojyo et Sanzo, j’espère vraiment qu’elle vous plairas ! Ce
troisième chapitre vu par l’auteur…bah moi ^^;;
Bonne lecture
!
Konna hazu jyanaka ttanoni…
Chapitre III : Sex or Dead ?
Une nuit au pays du plaisir…
Sanzo se réveilla quelque peu en sursaut. Après un
rapide regard aux alentours, il se rappela où il se trouvait et à qui était ses
bras entourant sa taille. Le bonze se resserra plus étroitement dans l’étreinte
et nicha sa tête juste en dessous de celle de Gojyo.
Pendant
combien de temps encore allait il rêver de cet événement qui avait bouleverser
presque toute sa vie… ?
Tout
allait bien maintenant…Il aimait Gojyo…Gojyo l’aimait…Que demander de
plus ?
Le
blond frissonna en sentant la main du rouquin remonté le long de son dos.
Apparemment l’endormi ne semblait plus l’être…Il retint un gémissement de
plaisir alors que le kappa glissait habilement ses lèvres sur son cou. Les
fines mains pâles du bonze allèrent se perdrent dans la mer rouge sang qui
s’exposait à elles.
Son
souffle se fit soudainement plus rapide et alors que son cœur battait dans ses
tempes.
-Sanzo…
Sanzo
frissonna en entendant la voix à peine souffler de Gojyo. Celui-ci n’avait
dormit que d’un œil, se doutant que son bien aimé allait sans doute
cauchemarder. Il voulait tant lui faire comprendre, effacer cette douleur qu’il
avait en lui…Lentement il attrapa une des mains du jeune bonze et la porta à
ses lèvres, léchant gentiment le bout avant de les baiser.
Le
blond se mordit la lèvre essayant de camoufler ses soupirs de plaisir sans
grand succès. Une vague pensée lui traversa l’esprit quand le roux lui embrassa
les doigts…
Il parait que les
doigts sont la partie la plus sensible du corps…
Mais
très vite il n’eut plus aucune pensée cohérente lorsque une langue taquine
glissa sur le bout de ses doigts. Gojyo après avoir terminer son travail avec
soin déposa la main du bonze sur son cœur. Ce dernier le sentit battre à tout
rompre, peut être autant que le sien…
-Tu
sens Sanzo ? Demanda Gojyo en le regardant amoureusement. Il ne bat que
pour toi…pour t’aimer…pour te protéger…
Dieu
ce qu’il se sentait bête en ce moment…Est-ce qu’au moins le blond avait
compris ? Il eut la réponse quand les joues de celui-ci se tintèrent de
rouge. Il baissa les yeux essayant de se cacher derrière ses mèches blondes qui
brillaient sous les raillons de lune et attrapa la main du kappa. Il fit de
même que ce dernier et la porta sur sa poitrine. Gojyo le regarda étonné, il
pouvait sentir ce cœur qu’il avait tant voulu posséder battre aussi fort que le
sien.
-Tu
sens ? Demanda t’il à son tour. Il ne bat…que pour toi…pour se faire
aimer…pour se faire protéger…Souffla t’il.
Les
lèvres du rouquin s’étirèrent en un tendre sourire avant qu’il ne dépose son
front tout contre celui de son moine perverti.
-Eh !
Ils battent ensembles…murmura t’il pour ne pas briser le précieux silence qui
s’était installé.
Sanzo
sourit doucement et ferma les yeux pour mieux écouter leurs battements qui se
calmaient petit à petit. Gojyo lui restait plongé dans la contemplation du
blond. Lentement il approcha ses lèvres des siennes et l’embrassa. Sanzo, qui
avait sentit de douces lèvres sur les siennes, y répondit passionnément
refusant de relâcher cette bouche.
Gojyo
passa lentement au dessus du bonze qui s’accrochait maintenant à son cou. Ils
se séparèrent pour respirer, lisant le désir retenu de l’autre, l’un dans une
mer améthyste et l’autre dans une mer rouge sang. Le blond ferma les yeux,
abandonnant son corps au rouquin. Celui ce sentit plus puissant que jamais et
laissa son corps se reposer sur celui du moine. Le bonze trembla quelque peu en
sentant le désir de son compagnon le frôler, dieu ce qu’il faisait chaud dans
cette chambre…Il faillit ne pas entendre la voix rauque de son amant.
-Sanzo…Tu es sûr ?
Pour
toute réponse, il n’eut qu’un baiser passionné et les deux jambes qui
s’enroulèrent autour de sa taille.
Gojyo,
confiant, commença à caresser le torse dénudé de son amant blond, n’oubliant
aucune parcelle de peau, mais faisant tout de même attention aux blessures du
moine. Bientôt ses lèvres remplacèrent ses mains qui, elles, continuèrent leur
chemin jusqu’au pantalon. Sanzo s’accrochait désespérément aux draps, tentant de
reprendre un souffle normal, mais quand le rouquin mordilla l’un de ses tétons
et, par la même occasion, ouvrir le bouton de son pantalon, il perdit le pied
de la réalité.
Gojyo,
lui, avait de plus en plus chaud. La peau du bonze était si douce et
laiteuse…Lentement, il ouvrit la braguette et retira le pantalon du bonze. Il
pu nettement voir la passion de ce dernier au travers du fin tissu qui
composait son caleçon. Il remonta son regard sur le visage du blond. Si
beau…les yeux mi-clos perdu dans le vague, les joues rougies, le souffle
saccadé, les mèches blondes collées sur son front, le moine corrompu était tout
simplement magnifique…
Gojyo
alla embrasser cette bouche si fine et ses lèvres aussi douces que celle d’une
femme voir même plus…Sanzo ne tarda pas à répondre et essaya de retirer le
tee-shirt du demi-youkai. Il y parvint sans trop de difficulté, mais lorsqu’il
voulu s’attaquer au pantalon de son amant, il ne pu que relâcher un doux
gémissement étouffé par le baiser. Gojyo venait de commencer à caresser le
désir du bonze. Il sentit les doigts de ce dernier lui retirer son dernier
rempart avant de prendre en main la preuve de son amour. Sanzo libéra ses
lèvres de celles de son amant pour relâcher un gémissement plus fort que les
précédents.
Le
demi humain en profita pour s’attaquer à la gorge offerte alors qu’il entamait
un lent mouvement de va et viens sur le désir du bonze. Celui-ci essayait tant
bien que mal de refouler ses cris de plaisir sans grand succès. Gojyo avait
l’air aussi essoufflé que lui, il se sentait de plus en plus serrer dans ses
vêtements. Sanzo s’accrocha à Gojyo comme si sa vie en dépendait plaquant ses
lèvres sur l’épaule du rouquin. Il sentait que quelque chose arrivait sans trop
savoir quoi.
-Go…Gojyo !!
Ce
fut le seul mot compréhensible en cet instant qui franchit les lèvres rougies
du blond alors qu’il relâchait sa passion dans la main du kappa. Il se laissa
retomber sur les draps, la tension avait soudain chuté, mais il ressentait
encore ce besoin d’en vouloir plus.
Ses
yeux s’ouvrirent sur un Gojyo entrain de lécher ses propres doigts les
nettoyant doucement. Les joues du bonze se tintèrent de rouge encore plus
qu’elles ne l’étaient déjà. Gojyo était si beau, si…sensuel dans chacun de ses
mouvements.
Celui-ci
embrassa tendrement le front de son amour, puis lui souffla :
-Je
crois que ça suffit pour une première nuit…Sourit le rouquin.
Sanzo
le regarda quelque peu troublé, il sentait bien que Gojyo n’avait pas encore assouvi
son désir à en croire celui-ci qui reposait près du sien avec juste comme
rempart ses vêtements.
-Mais
toi tu n’as pas…
Sanzo
baissa rapidement les yeux en rougissant. Gojyo sourit le trouvant si craquant
ainsi.
-Ne
t’en fait pas…ce n’est pas si grave…Fit en embrassant le visage du bonze.
Sanzo
ne répondit rien. Bien sur qu’il était fatigué mais cela ne lui semblait pas
juste…Il passa lentement ses bras autour du cou de son amant et glissa ses
lèvres jusqu’à son oreille.
-Je…je
veux te sentir en moi…
Gojyo
s’écarta de suite de son amant le regardant dans les yeux. Etait t’il vraiment
prêt ? L’étincelle qui brillait au fond des yeux améthyste lui prouva que
oui.
Après
avoir vérifier auprès du bonze qui avait approuvé, il prépara comme il se doit son
bonze corrompu. Une fois celui-ci prêt, et détendu, Gojyo retira ses derniers vêtements
et commença à entrer lentement en lui, doucement, comme s’il avait peur de lui
faire mal.
Sanzo
avait eut le souffle coupé et griffa doucement le dos du rouquin. Un
gémissement de douleur lui échappa lorsque celui-ci fut totalement en lui. Il
essaya de reprendre une respiration normale et d’oublier la douleur comme lui
avait conseiller son kappa. La main qui se perdait dans ses cheveux et la douce
voix qui murmurait à son oreille l’aida à se détendre totalement.
-Est-ce
que ça va Sanzo ?
La
réponse ne tarda pas à venir, le simple fait que Gojyo s’était reculé et bouger
en lui, avait créer tout sorte de frissons qui étaient remonté le long de la
colonne vertébrale du moine. Il resserra ses muscles, enserrant le désir du
rouquin qui gémit.
-Je
vais prendre ça pour un oui...Souffla t’il avec un sourire.
A
présent, Sanzo et Gojyo n’était plus de ce monde, perdu dans celui du plaisir.
Gojyo avait commencer lentement pour habituer Sanzo à son rythme puis avait
accélérer. Maintenant les deux corps des amoureux bougeaient en un commun
accord, se frottant l’un contre l’autre sans plus aucune retenu. Leurs
souffles, leurs sueurs, leurs plaisirs se mélangeaient pour ne former qu’un.
Lorsque
vint le moment de libération pour les deux compères, deux voix pleine de désir
hurlèrent le nom de l’autre.
Gojyo
s’écroula sur son amant, le corps tremblant des derniers frissons de désir qui
le parcouraient. Tout devint calme autour d’eux, plus aucun bruit si ce n’est
les deux souffles qui essayaient de reprendre une allure constante.
Retrouvant
un peu de force Gojyo se retira de son amant avant de traîner celui-ci contre
son torse. Le bonze lui sourit encore essoufflé avant de plonger lentement,
heureux, dans les bras de morphée. Gojyo embrassa le front écoutant le dernier
murmure de Sanzo pour la nuit.
-Je
t’aime…
Le
demi-sang regarda par la fenêtre, l’aube commençait à ce lever…
Il
reporta son regard de braise sur son amant en souriant, il l’avait aimé toute
la nuit et se doutait que ce ne sera pas la dernière…Mais ça n’était pas pour
lui déplaire…
Il
embrassa les douces lèvres de son amant, salées par la transpiration et
s’endormit lui aussi.
-Je
t’aime aussi…
Owari !
Voilà
fic terminée, j’espère que cela vous a plu ! ^^
Review ?